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mardi 14 décembre 2010

Donner des feedback !



Le feedback, une pratique de base du manager.
Bien que connu par les managers, la pratique du feedback est souvent négligée. Pourtant, nous avons tous besoin de retours sur notre travail. Le feedback devient un outil essentiel à notre développement. Il nous permet de de progresser, en nous indiquant ce que nous devons changer ou améliorer. C'est aussi un outil pour nous encourager à poursuivre notre manière de faire.
Vous l'aurez compris, le feedback a deux versants : le positif et le critique constructif.
Dans le feedback positif, il s'agit d'apprécier les comportements ou les réalisations de vos collaborateurs à poursuivre dans l'avenir. C'est un outil d'encouragement et de motivation.
Dire seulement : "excellent travail, Jacques", ne suffit pas ! Vous avez à dire à Jacques ce que vous avez particulièrement apprécié dans son travail. Appuyez-vous sur vos observations. Vous pourriez dire, par exemple : "J'ai lu votre compte rendu de la visiste commerciale faite à Monsieur Duchmol et j'ai apprécié la qualité et la pertinence des informations que vous recueillez. je perçois bien maintenant, ses besoins et ce qu'il attend de nous".
Plutôt que d'être général, choisissez d'être spécifique. La formulation du feedback s'appuie sur l'utilisation du "je" qui indique votre engagement.
Du côté du feedback critique constructif, l'objectif est de trouver avec le collaborateur une amélioration à sa performance.Il s'agit ici d'exprimer ce que vous pensez, sans blesser votre collaborateur.
Pour vous y préparer, voici quelques astuces.
1 Préparez la discussion
Pour cela, prenez le temps de répondre à ces quetions :
Quel est le problème ? Dîtes clairement où se situe le problème. Par exemple : la présentation du compte rendu
Quels ont les faits précis relatifs à ce problème ? Je ne vois pas les points de satisfaction et d'insatisfaction du client. Soyez précis et factuel. Donnez des exemples.
Que souhaitez-vous comme changement ? Quelles sont vos atentes ? Je souhaite que dans chacun de vos compte rendu vous écriviez les motifs de satisfaction ou d'insatisfaction de nos clients.
2 Organisez une rencontre avec votre collaborateur
Faîtes état de la situation et de vos attentes en utilisant votre préparation. Si nous reprenons l'exemple précédent, vous direz : "Jacques, je souhaite que nous discutions d'une façon d'amélioration de vos compte rendu commerciaux. J'ai observé que vos rapports n'expriment pas la satisfaction ou l'insatisfaction de nos clients. Je souhaiterais que ces points précis figurent dans vos écrits. Qu'en pensez-vous ?
Ecoutez attentivement ce que vous dit votre collaborateur. Reformulez ses propos pour valider votre compréhension.
Demandez à Jacques comment il peut résoudre le problème. Identifiez avec lui des pistes de solution. Puis, convenez ensemble d'un plan d'actions.
Concluez l'entretien en énumérant les actions prévues par Jacques. Obtenez son engagement et convenez d'un suivi de ces actions.
Le feedback critique s'effectue dès que vous observez un problème. Vous donnez ainsi toutes les chances à la personne de s'améliorer. Quelle utilité avez-vous d'attendre ?

lundi 6 décembre 2010

Le mythe du père Noël





Faut-il laisser croire son enfant au père Noël ?

Chaque année à Noël, des parents se posent la question de savoir s'il faut entretenir ce mythe. Certains culpabilisent de mentir à leurs enfants alors que d'autres y voient l'occasion de transmettre quelque chose de magique, de merveilleux.

Comment se construit ce mythe ?

Les jeunes enfants croient au père Noël. Qu'est-ce qui les conduit à adhérer à ce mythe ?

Pourquoi les enfants y croient-ils ? La première raison vient du fait que les enfants croient naturellement à ce que leurs disent leurs parents. Ils nous font confiance et ils n'ont pas d'autres moyens que de s'adosser aux sources d'informations dont ils disposent.

Ensuite, tout leur entourage leur parle du père Noël, les membres de la famille, les copains d'école, les professeurs etc.. Ces nombreux témoignages renforcent l'idée que le père Noêl existe.

Enfin, toute une mise en scène conduità leur apporter des preuves. les cadeaux sont installés sous le sapin quand ils dorment. Ils ont écrit leur lettre au père Noël. Ils peuvent voir le père noël dans la rue. Au fil des jours, les adultes contribuent à installer une atmosphère propice à cette croyance et à l'alimenter par toute une série de manifestations concrètes.

Comment ne pas y croire lorsque tout est fait pour porter le petit enfant à y croire ?

Quand cessent t-ils d'y croire ?

Vers l'âge de 7 ans en moyenne, les enfants cessent de croire au père Noël. C'est à cet âge que l'enfant se pose des questions. sa représentation du monde plus rationnelle l'invite à revoir ce mythe. Des éléments externes viennent contredire cette croyance. Les éléments fantastiques de la légende lui apparaissent invraisemblables.
"Comment fait le père Noël pour faire le tour de la terre en une nuit ?"
"Comment sa hotte ou son traîneau peuvent contenir tous les jouets distribués aux enfants ?"
"Comment peut-il entrer par la cheminée ?"

Dès que ces réflexions d'enfants apparaissent, l'enfant commence à douter et mieux vaut lui dire la vérité.

Comment s'y prendre pour que cette rupture se produise en douceur ? Il ne s'agit pas de lui dire la vérité de manière abrupte car l'effondrement de la croyance a des chances d'être mal vécu. Mieux vaut alors lui retourner ses questions. A ton avis ? Qu'est-ce que tu en penses toi ? Si l'enfant a réuni des soupçons, il est prêt à entendre car il réalise que le mythe montre des signes de faiblesse.

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mercredi 17 novembre 2010

Accepter la critique : une autre attitude

Comment faire pour s'enrichir face à une critique ?

Nous réagissons assez mal à la critique. elle est souvent vécue comme une attaque personnelle et a plutôt mauvaise presse. Si la critique est par trop agressive, la rejeter est un premier réflexe. la forme de la critique joue un rôle dans son acceptation. Malgré tout, chacun y est confronté et peut apprendre à l'apprivoiser.

Que se passe t-il quand une personne émet une critique ?

Dans une version positive, il est possible que la personne vous signifie une demande ou vous donne son avis. Imaginez que cette personne émette des commentaires sur vos dossiers. Hé bien elle cherche sûrement à vous exprimer ce qu'elle aurait fait à votre place ou bien à vous dire sa différence. Au final, rien de bien méchant et son intention peut-être positive. Si tel est le cas ?

Ecoutez la. Ce qu'elle a à vous dire peut vous enrichir et vous permettre de compéter votre point de vue. Pour cela, laissez de côté vos émotions et prenez en considération le reproche.

Placez-vous en observateur et votre attitude s'en trouvera modifiée. Cherchez à comprendre, à quetionner la perception de votre interlocuteur. L'ouverture dont vous voulez faire preuve, vous invite à ne pas rejeter d'emblée ce qu'avance l'autre. Cherchez à savoir ce qui a motivé cette critique.

Parler, dialoguer ne veut pas dire que vous acceptez l'avis de l'autre. Dans la critique formulée, faîtes le tri. Gardez les critiques qui vous paraissent fondées pour vous améliorer ou améliorer vos pratiques.

Quand quelqu'un émet une critique, il est persuadé qu'il doit le faire. Si vous refusez de l'entendre, sa détermination à dire ce qu'il veut dire s'en retrouve renforcée. ne pas l'écouter risque fort de créer une frustration et donc de nuire à votre relation. Aors ? A vous de juger !

Vous recherchez plus d'informations sur ce sujet ? Contacter un coach professionnel : Tamaji Coaching

mardi 19 octobre 2010

Le coaching dans tous les sens

Le coaching est devenu un ingrédient de notre société.
Des coachs de tous gabarits envahissent nos écrans de télévision et officient en tout domaine, de la supernanie à la coach déco, en passant par le conseiller matrimonial ou l'organisateur du rangement.
Cette prolifération de la figure du coach dans notre vie quotidienne traduit une forte demande d'accompagnement. Autrement dit, la notion de coaching s'est largement démocratisée et ce dans toutes les strates de la société. Même dans les entreprises le coaching réservé aux dirigeants, se pratique maintenant pour le middle management. Est-ce un bien ou un mal ? Peu importe, ce qui est remarquable, c'est cette demande grandissante, ce besoin d'être accompagné, de ne plus être seul. Alors, qu'est-ce qui pousse les personnes à cela ? Si ce phénomène s'accentue à quoi est-ce du ? Est-ce un effet de notre société de plus en plus individualiste ? Est-ce lié à un besoin d'être rassuré ? Est-ce du à une recherche effrénée de perfection ? Peut-être tout cela à la fois.
Et vous ? Avez-vous besoin d'être accompagné ?

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mardi 5 octobre 2010

Le pouvoir des croyances

Une croyance est une affirmation personnelle que nous pensons vraie. Elle porte sur la perception que nous avons de nous-mêmes, des autres et du monde en général. Ce sont des interprétations subjectives à propos des relations entre les choses et les événements tels que nous les percevons. Les croyances impactent tous les aspects de notre vie : relations (avec nous-même, avec les autres, avec la vie), parcours professionnel ou affectif, réussite sociale, santé...

Les croyances sont aidantes ou limitantes.
Les croyances aidantes stimulent notre énergie positive (ensemble, nous sommes plus forts, il n'est jamais trop tard pour apprendre...). Ce sont des ressources. En revanche, les croyances limitantes nous empêchent d'avancer (montrer son émotion est un signe de faiblesse, la réussite est réservée aux hommes...). Ce sont des freins.

Les croyances favorables portent, autant les laisser faire. Par contre, se défaire de ses croyances défavorables, conscientes ou non, permet de dévoiler toute son envergure. nous nous intéressons donc à cette deuxième catégorie de croyance.

Prendre conscience de nos croyances limitantes lorsqu'elles restreignent nos choix et nous empêchent d'atteindre nos objectifs est la première condition pour les réévaluer. Nous retrouvons nos croyances, sans trop de peine si nous nous posons les bonnes questions.

Les croyances peuvent être repérées en prêtant attention simplement au comportement, c'est à dire à ses paroles, ses actions. Une écoute attentive favorise l'émergence de la croyance. Ceci se vérifie notamment lorsque nos comportements sont liés à des réactions qui présentent une certaine intensité. En repérant les croyances les plus visibles, le coach peut progressivement avoir accès à celles d'un niveau plus profond. Les quetions pistant les croyances portent sur les envies, les craintes, les rejets, les désirs, les joies.

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mercredi 22 septembre 2010

Les ingrédients de la réussite scolaire

Que faut-il pour qu’un élève réussisse

Des études menées sur des échantillons d’élèves en primaire montrent que la mémoire des connaissances joue un rôle principal dans la réussite scolaire. Mais qu’elle est cette mémoire ? Elle est liée à la capacité d’apprentissage, le fait de savoir aborder une leçon et de mémoriser son contenu.

Alors, comment la développer ?

Elle se développe par la lecture. Plus un enfant lit, plus il a envie de lire. Plus il lit, plus il accroît ses connaissances. Cet effet boule de neige se combine avec le fait que l’enfant sait lire et comprend ce qu’il lit. L’enfant apprend à décoder les phonèmes (les groupes de lettres) et le sens des mots rencontrés. Là, les parents ont un rôle à jouer. Au cours de la lecture, le parent peut établir une relation entre le mot et son sens. Montrer une image représentative du mot aide l’enfant à le comprendre et à le mémoriser. Lui expliquer le sens des mots. Reprendre le mot dans différents contextes etc..

Comment développer les compétences de lecture ?
Aux parents de pousser leurs enfants à lire. C’est possible dès 4 ou 5 ans, avant même de savoir lire. Comment ? Aller en librairie ou à la bibliothèque avec eux. Leur lire des livres. Ecrire un mot sur une étiquette et y mettre en face une image représentative du mot.

Comment motiver les enfants à apprendre ?
Il y a 2 sortes de motivation : la motivation intrinsèque et la motivation extrinsèque. La première est liée au plaisir de pratiquer une activité. La seconde est liée aux récompenses externes. Quand l’enfant réussit une activité, il a un bonbon, un jouet et quand il échoue, il a une punition. En donnant une récompense à l’enfant, les parents le rendent dépendant de ces gratifications externes. L’enfant perd le goût de pratiquer l’activité en elle-même.
Vous l’aurez compris, la motivation intrinsèque naît du plaisir à réaliser une activité alors que la motivation extrinsèque réduit ce plaisir.
En encourageant les enfants, en les valorisant dans leurs activités, les parents renforcent cette motivation intrinsèque. Si vous souligner les progrès de l’enfant, si vous vous montrez heureux de leurs résultats, vous stimulez cette motivation intrinsèque. En exprimant votre admiration face à quelques lettres écrites maladroitement, vous avez mille fois raison !
Par ailleurs, vous pouvez accentuer « l’autodétermination » de l’enfant en lui demandant régulièrement l’activité qu’il souhaite faire. Ceci est aussi valable sur sa matière préférée ou ce qui lui plaît.
Bien sûr, à vous parents de vous montrer habiles ! Rien ne vous empêche de proposer des « découvertes » qui stimulent leur curiosité. La cité des sciences et autres lieux regorgent d’expositions instructives. Si vous leur promettez une glace ! Ils accepteront de vous suivre !

Alors ! La réussite scolaire, elle est pour qui ?

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LES DRIVERS

Vous aussi tout comme moi, vous avez déjà entendu cette petite voix qui vous dit : " Allez dépêche-toi..." Si ce n'est pas celle là, c'est une autre. Laquelle ? C'est ce que vous verrez en venant à l'atelier.

Si vous venez, je vous parlerais des injonctions, appelées "drivers" qui, en situation de stress, prennent les manettes et vous pilotent. Ces drivers donnent lieu à des comportements développés dès l'enfance, pour retenir l'attention de ceux qui étaient alors, les êtres les plus importants au monde : nos parents.

Qu'en ait-il une fois devenus adultes ?
Une chose est sûre, nous utilisons tous et usons même parfois d'un driver en position de parent.
Alors, cette petite voix, venez l'identifier ! Mieux vaut en avoir conscience pour mieux la contrôler, voire la dompter.

Je vous attends à l'atelier du 9 octobre de 10h à 12h, 60 rue de la belle feuille à Boulogne Billancourt. Auparavant, contactez l'association de parents d'élèves, éducation-motivation parents à : contact@e-mp.asso.fr

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vendredi 3 septembre 2010

L'objectif

En coaching, tout commence par une demande. Quelle qu'elle soit, le coach veille à la clarifier. Cette étape cruciale au démarrage du processus de coaching s'enchaîne par la détermination d'un objectif. Tant que nous ne savons pas où aller, comment pouvons-nous nous y rendre ?
Trouver le chemin en coaching, commence par : quel est mon objectif ?

Alors, comment déterminer un objectif ? Plusieurs étapes se succèdent.

  • Déterminer votre objectif de façon précise consiste à donner des détails pour se le représenter. Qu'est-ce que je veux exactement?
  • L'énoncer de façon positive au lieu de dire je ne veux plus de ce travail qui m'ennuie, dire ce que je veux à la place. Par exemple, je veux un travail dynamique, avec des collègues etc..
  • S'assurer que l'objectif est sous mon contrôle. Qu'est ce que je peux mener à bien ?
  • Est-il réalisable, rattaché à un projet ?
  • Est-il écologique ? Cet objectif est-il respectueux de ce que je suis, de mes valeurs et de mon entourage ?
  • Quand allez-vous atteindre cet objectif ? Sous quel délai ?
  • Ai-je des intérêts à ne pas atteindre mon objectif ? Dans l'exemple du travail, je veux changer de poste mais je peux aussi estimer que de ne pas changer est plus confortable et me demande moind d'efforts.
  • De quelles ressources je dispose ? De quoi ai-je besoin pour y arriver ? L'acquisition de nouvelles connaissances, l'appui de personnes ou de mobiliser une de mes forces...
  • En dernier lieu, se projeter dans l'avenir. Quand vous êtes dans votre nouveau job, que voyez-vous ? qu'entendez-vous ? que ressentez-vous ? Recherchez un maximum de détails pour créer une association entre vos sens et votre objectif. Le cerveau ne fait pas la différence entre la réalité et ce que vous projetez.

Quel que soit le résultat que vous obtenez en atteignant votre objectif, l'important c'est de considérer la personne que vous allez devenir. Un objectif se prépare minutieusement pour mieux entendre vos oreilles siffler des airs de motivation et de résultat.

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mercredi 1 septembre 2010

Votre rentrée scolaire Zen

Chaque année, c’est la même histoire, la rentrée scolaire de septembre suscite de l’excitation. Les parents comme les enfants s’en font toute une montagne. Pourtant l’expérience montre que la famille fait sa rentrée sans embûches ! Finalement, un zeste d’organisation et quelques réflexes suffisent à passer un mois de septembre sans encombre.

Pourquoi cette même angoisse à chaque rentrée ?

En premier lieu, l’appréhension de la rentrée des classes avec son lot d’inconnues fait son apparition. Les nouveaux enseignants, un nouvel établissement pour les uns, la peur de ne pas arriver à tout combiner ou à faire face aux dépenses pour les autres. Autant de raisons de paniquer.

Derrière ces faits objectifs se cachent une angoisse plus diffuse, comme si le jour de la rentrée conditionnait le déroulement de toute une année. Chacun se fixe des objectifs, des exigences de haut vol. De plus, les parents projettent leurs propres « traumatismes » scolaires sur leurs enfants. Il suffit d’avoir été traité soi même de nul par un enseignant ou d’avoir eu des parents qui vous faisaient des remontrances sévères sur vos résultats scolaires pour penser que sa chère tête blonde va subir le même sort.

Quelles solutions pour bien vivre cette rentrée ?

Organisez vos achats
Avant de vous précipiter dans les magasins, regardez l’état des fournitures de l’an passé. Certaines petites fournitures peuvent être réutilisées : stylos, classeurs, règles… Si le cartable est encore en bon état, inutile d’en acheter un neuf. Vous vous sentirez moins oppressées par le coût de la rentrée. Expliquez ce que vous faites à votre enfant pour qu’il ne se sente ni dévalorisé, ni privé de quoi que ce soit.
Une fois l’inventaire établit, partez seule pour que vos chers bambins ne soient pas en mesure de vous réclamer la trousse Harry Potter. Votre budget en sera d’autant mieux respecté.

Habituez vos enfants aux horaires de rentrée
Pour éviter à vos enfants le choc horaire de la rentrée, habituez les, en douceur, quelques jours avant le jour J à reprendre leur rythme de sommeil.

Pour connaître le temps de sommeil de chacun de vos enfants, comptez son nombre d’heures de sommeil en période de vacances. Vous saurez ainsi de combien d’heures Julie, Antoine ont spontanément besoin. Appliquez ce tarif de sommeil toute l’année. Si en vacances Julie dort de 22h à 8h, elle a besoin de 10h de sommeil. Elle devra donc se coucher à 21h pour avoir le même nombre d’heures si elle se lève à 7h.



Parlez à vos enfants
Sans parler de la rentrée à tord et à travers, rassurez le s’il manifeste l’envie de vous en parler. Trop en parler risque de le rendre anxieux. En revanche, s’il manifeste le besoin d’exprimer une peur, rassurez-le. Cherchez à savoir ce qui l’angoisse exactement. Soyez disponible pour l’écouter en lui laissant le temps de parler à son rythme, sans le juger. Dîtes lui que vous le comprenez, que vous aussi vous avez eu peur et surtout dîtes lui que vous serez toujours là pour en parler avec lui.

Si vraiment le stress se manifeste par des pleurs, de l’agitation, des cauchemars, de la violence, de la perte de l’appétit ou un sommeil difficile à répétitions, n’hésitez pas à consulter un thérapeute pour enfants.

Dosez les activités extra scolaires
Les activités sportives, artistiques, musicales sont autant de moments agréables à nos enfants et nécessaires à leur développement. Cependant, un planning trop chargé peut être source de stress. Oubliez le tennis, piano à gogo dans un esprit de compétition ou de performances. Les enfants ont besoin de moments de détente, de rêve ou d’ennui pour développer leur imagination !

Relativisez l’importance de la vie scolaire
Certes l’école est importante pour le devenir de vos enfants. Cependant, ne l’exagérez pas à outrance. Pour leur donner envie d’étudier, sachez les encourager plutôt que de les réprimander ou de toujours leur demander d’augmenter leurs performances. Prenez en compte leurs efforts et sachez reconnaître leurs forces.

En résumé, oubliez l’enfant parfait dont vous rêvez et la rentrée se passera au mieux !

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mercredi 9 juin 2010

Un coach, pour quoi faire ?

En juin dans Courrier Cadres
Par : La rédaction le Vendredi 04 juin 2010

Retrouvez ce sujet dans le numéro de juin de Courrier Cadre, en kiosque.

En couverture : un coach, pour quoi faire?
Il est entré sous toutes ses formes dans l'entreprise et explose maintenant chez les cadres qui y ont recours, de façon individuelle, pour booster leur carrière. mais à quoi sert vraiment le coaching?


- Quand l'entreprise vous offre un coach

- Quand chacun cherche son coach

mardi 8 juin 2010

Recourir à un coach : les questions à se poser

Tous droits réservés Les Echos 2009 19/11/2009

Il ne sait pas, il ne soigne rien et il ne se substitue pas à son client. Autres indices :
il aide au développement d’unpotentiel et d’un savoir-faire à l’aide d’outils spécifiques etdans un cadre strictement professionnel.
Enfin, il n’a pas son pareil pour manier la métaphore et assimiler un dirigeant
ou une entreprise à une grenouille
mourante, car cuite à petit feu dans une eau bouillante. De qui s’agit-il ?
D’un intervenant extérieur – uncoach – qui aide à passer des obstacles professionnels. La nouveauté est qu’aujourd’hui son action gagne en importance
en entreprise, de la SNCF à Danone en passant par L’Oréal. A tel point qu’il se heurte désormais moins, comme il y a cinq ans, à un problème de reconnaissance
de son utilité que de juste place face à son client.
Une récente enquête de l’International Coach Federation
indique que 68 % des coachés estiment ne pas perdre leur investissement
et que les plus satisfaits en évaluent la rentabilité
à 344 %. Convaincus de l’utilité du coach, dirigeants et cadres
dirigeants continuent néanmoins de se poser quantité de
questions. Leur faut-il un familier de leur secteur d’activité ou
bien un généraliste ? « Pour moi, dès lors qu’il a bien saisi le code génétique de notre société (sa culture, son histoire, etc.), il n’est pas nécessaire qu’il connaisse notre secteur d’activité », estime Patrick Le Cerf, directeur
exécutif et secrétaire général de Groupama Transport. Ce n’est pas l’avis de Sandrine Lilienfeld, présidente de NafNaf, ravie que son coach connaisse comme sa
poche le secteur du prêt-à-porter.
« Mais d’autres secteurs aussi, comme la banque et l’informatique, où il y a de bonnes idées à glaner », insiste-t-elle.
Autre question : quelle distance tenir ? Faut-il limiter son rôle à celui d’un accompagnateur ou bien le laisser s’immiscer dans la réalité professionnelle, voire dans certains aspects de la sphère privée ? Caril s’en passe parfois de belles au
cours des séances de coaching. Certains versent des larmes, d’autres y parlent de somatisationà l’évocation d’un mal de
dos chronique, ou encore déplorent une voix défaillante dès que le stress professionnel se fait intense. La proximité entre coach et coaché peut aussi être telle que les liens, de professionnels, virent à l’amitié. Ou à l’embauche
du coach comme salarié, ce qui, du coup, lui fait perdre son regard extérieur et sa
neutralité.
Exclure la complaisance « Le coach fait ouvrir les yeux sur certaines vérités et casse les nondits», estime Patrick Le Cerf, qui se fait conseiller avec deux
autres dirigeants dans le cadre de la mise en place d’une nouvelle gouvernance. « Nôtre coach est témoin d’une intimité professionnelle qui se traduit
parfois par un certain niveau d’émotion, du type : Tu as pris telle décision et je l’ai mal vécu. » Comme eux, nombre de dirigeants ressentent ce même besoin de développer des aptitudes aux rapports humains. La raison ? Stressés par de multiples
obligations de résultat, ils savent commander et suivre des
objectifs, mais se retrouvent désemparés face à des gens à gérer et à motiver. « Quel temps accorde- t-on à la reconnaissance du droit à l’erreur, à la valorisation
de l’autre, à l’écoute, a l’empathie quand chaque manager consacreb en moyenne un tiers de sa journée de travail à se protéger, un tiers à se justifier, un tiers à
produire ? », interroge Michel Levionnois, expert en management et psychosociologue.
« Autant d’attitudes qui font “décrocher” des autres en termes de communication. » Preuve que la place de l’humain dans l’entreprise est à nouveau jugée sérieuse,
même le Boston Consulting Group, cabinet de conseil en stratégie, se lance dans le
coaching.
Mais pour être efficace, l’action d’un coach doit reposer sur une problématique concrète et exclure la complaisance. « Lors d’un précédent emploi, où j’avais
la pleine maîtrise de mon poste mais où je commençais à m’ennuyer,
je me suis fait coacher par une femme charmante, très orientée RH et psy. Elle me couvrait de compliments, utilisait des outils connus et ne m’apportait
pas vraiment d’axes de progrès », témoigne Sandrine Lilienfeld, présidente de NafNaf.
« Sans que ce soit décourageant pour moi, mon coach actuel se montre critique et me pousse dans une démarche systématique de progrès. Par exemple, il m’aide à m’améliorer en management transversal, à organiser un séminaire ad hoc pour mon comité de direction ou encore à réfléchir sur mon organisation », précise t-elle.
Il ne peut pas tout.
Le coaching peut aider à quantité d’autres choses encore : à préparer une rencontre éprouvante avec des actionnaires, à retenir un talent indispensable à l’entreprise, à anticiper d’éventuels conflits sociaux ou à lutter contre le stress. Mais aussi à intégrer un nouveau poste de direction – dans les cent premiers jours notamment –, ou encore à soutenir une phase active de recherche d’emploi. Deux types de mission qu’endossent nombre de chasseurs de têtes. « Des dirigeants en recherche de poste éprouvent le besoin de nous parler pour dédramatiser et trouver réconfort et encouragement », explique Eric Salmon, président fondateur du cabinet de recrutement de dirigeants de haut niveau Eric Salmon & Partners.
« Mais nous sommes des partenaires d’affaires qui les accompagnons vers autre chose ; en aucun cas des psys ou des coachs », tempère-t-il. Attention toutefois, le coach ne peut pas tout. Face à un patron qui la contacte pour accompagner un de ses subordonnés qui implose, déjà sous pression mais à qui il demande toujours plus, Elena Fourès, fondatrice du cabinet Idem Per Idem, ne peut diagnostiquer qu’« un aveu de sa propre défaillance de manager direct ». Le coach peut aider à faire mieux, ou de façon plus intelligente, mais ne doit pas terroriser le coaché. Ni répondre à des demandes impossibles. Telle celle de ce dirigeant qui, après 29 trajets en avion en dix-neuf jours, souhaite faire passer le nombre de tâches de sa « to do list » de 100 à 155. « Un tel rythme de travail doit relever de l’exceptionnel. Je n’ai pas vocation à préparer à l’infarctus ! », lance Elena Fourès.

Recourir à un coach : les questions à se poser De plus en plus de
dirigeants font appel à un coach. Mais pour que celui-ci soit efficace, il est indispensable de s’interroger sur sa bonne place : ni psy, ni ami,
ni gourou.

Pourquoi faire appel à un coach ?
idé / Source : International Coach Federation, 2009 (sondage réalisé auprès
de 2.165 clients de 64 pays)
Principales motivations :
Organisation financière - 3%
Objectif personnel - 4%
Culture d'entreprise - 7%
Gestion du temps - 10%
Organisation personnelle - 14%
Efficacité de l'équipe - 15%
Bien-être - 18%
Compétences de communication - 18%
Compétences interpersonnelles - 18%
Performances professionnelles - 24%
Relations humaines - 25%
Gestion d'entreprise- 25%
Opportunités de carrière - 28%
Equilibre vie prof./vie privée - 36%
Confiance en soi - 41%
Article écrit par Muriel JASOR

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L'empathie

Qu'est ce que c'est ?

Notre capacité à partager et comprendre des états émotionnels et affectifs des autres et à ressentir une motivation orientée vers leur bien-être.

Comment pourrions-nous interpréter les réactions de collègues, de clients si nous n’étions pas à même de percevoir en eux, la frustration, le désir, la méfiance ou la satisfaction ?

L’empathie est un élément indispensable à la vie en société. Associée au langage, elle permet de réguler les relations entre les individus au sein d’un groupe. Le langage permet d’accroître ou de réduire la distance entre soi et l’autre. Il joue un rôle essentiel dans la subjectivité. Ainsi, le degré d’empathie que l’on éprouve pour une personne est influencé par le degré de rapprochement que nous ressentons pour l’autre. Le langage favorise l’adaptation à l’autre car il permet de comprendre plus précisément les états affectifs d’autrui.

Même en situation de désaccord, l’empathie peut aussi rapprocher les individus. Prenons un exemple : un supérieur hiérarchique fait une remarque désobligeante à l’un de ses collaborateurs. Ce dernier ressent de la colère et adresse un message à son supérieur : « Tu as dépassé les bornes ». Si le supérieur réagit par une attitude de conciliation en s’interrogeant sur ce qui a conduit l’énervement chez son collaborateur, il rétablit le contact. En s’intéressant à l’émotion chez son collaborateur, ce hiérarchique régule les aspects subjectifs de leur rapport. Il s’agit donc bien ici d’empathie. Sans elle, les rapports sociaux seraient sans doute, un « enfer ».

Alors si comme moi vous estimez qu’une attitude empathique rend plus heureux, développez la pour vous et votre entourage. Remettez l’empathie au cœur de nos relations, militez en sa faveur.

mercredi 2 juin 2010

Le coaching dans toute sa simplicité !

Le coaching professionnel est une relation suivie entre le coach et son client, sur une période définie pour obtenir des résultats concrets et mesurables sur des objectifs déterminés, en situation professionnelle. Le processus de coaching se concentre sur la situation actuelle du client et sur ce qu’il est prêt à mettre en œuvre pour atteindre ses objectifs. A travers ce processus, le client approfondit ses connaissances et. Le coach aide son client à trouver sa solution et lui permet d’atteindre la situation désirée plus rapidement. Le coaching se pratique en séances de face à face ou au téléphone.

Le déroulement du coaching est assez simple. Une fois les difficultés identifiées, le couple coach / coaché fixe des objectifs à partir de ses propres ressources et donc des objectifs vers lesquels il s’agit d’avancer au fil d’une dizaine de séances. Dans ce partenariat, le véritable acteur est le client. Le coach n’est pas censé délivrer des conseils concrets. Il est là pour faire des suggestions et inviter le coaché à se poser les bonnes questions. L’objectif du coaching est de développer des modes de comportement plus efficaces et de sortir de comportements nocifs. C’est une technique ponctuelle qui passe par la pratique.

Exemples d’objectifs de coaching :

• Mettre en place une délégation réussie

• Animer son équipe avec le maximum d’efficacité et d’enthousiasme

• Equilibrer sa vie personnelle et sa vie professionnelle

• Rétablir une relation managériale difficile

• Exercer ses responsabilités avec plus d’efficacité

• Rétablir une situation managériale difficile

• Réorienter sa carrière

• Identifier les enjeux et être performant plus rapidement dans la prise en main d’un nouveau poste.

• Faire face à des évolutions plus ou moins importantes de son environnement

• Savoir s’organiser

• Etre plus rapidement opérationnel dans un nouveau poste

• Gagner en confiance, en affirmation de soi

Bienvenue sur mon blog

Je suis ravie de vous accueillir sur mon nouveau blog.