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lundi 24 décembre 2012
mardi 11 décembre 2012
Renforcer le plaisir au travail : rêve ou réalité ?
Vous rêvez d’un travail dans lequel vous vous épanouissez ? Depuis quelque temps, vous constatez que la routine prend le dessus et que vos perspectives d’évolution s’obscurcissent. De ce fait, votre motivation, votre implication dans votre travail et votre humeur sont en berne.
http://www.widoobiz.com/actualites/renforcer-le-plaisir-au-travail-reve-ou-realite/26077
http://www.widoobiz.com/actualites/renforcer-le-plaisir-au-travail-reve-ou-realite/26077
lundi 26 novembre 2012
La reconversion professionnelle
Etudes, sondages et enquêtes - par Cadresonline
Un point sur la reconversion professionnelle
http://www.cadresonline.com/conseils/actualites/presse-emploi/etudes-sondages-et-enquetes/detail/article/la-reconversion-professionnelle-un-choix-pour-76-des-cadres.html#xtor=EPR-68-[]-261112
Un point sur la reconversion professionnelle
http://www.cadresonline.com/conseils/actualites/presse-emploi/etudes-sondages-et-enquetes/detail/article/la-reconversion-professionnelle-un-choix-pour-76-des-cadres.html#xtor=EPR-68-[]-261112
dimanche 4 novembre 2012
Se mettre à la place de l'autre : une technique utile
Pour Widoobiz, j'ai écrit cet article :
Lisez le, essayez cette technique et dîtes moi ce que vous en pensez.
Racontez moi ce que vous vivez. Dîtes le sur mon blog dans la partie commentaires.
Cliquez sur mon blog et commentez cet article. Si le cœur vous en dit,
inscrivez-vous sur mon blog et donnez-moi votre adresse mail pour que je vous
informe des prochains articles. Vous ferez partie de ma liste de membres.
Utilisez cette technique le plus souvent possible. Un malentendu, une
communication délicate, un conflit … Pensez aux positions. Vous verrez, les
situations s’éclairent.
A très vite
Corinne Mathieu
vendredi 26 octobre 2012
La croissance économique et le bonheur sont ils corrélés ?
Nous sommes tous à la
recherche du bonheur et pourtant le licenciement, événement majeur de notre
société, l’affecte. En effet, nous sommes tous potentiellement soumis à ce
risque. L’augmentation incessante du taux de chômage nuit à notre sérénité et
renforce ce danger. Dans cette spirale, nous nous construisons notre propre
malheur.
Comment en sommes
venus là ?
Pour comprendre,
regardons quelques années en arrière.
Jusque dans les années
70, l’augmentation de salaire des patrons s’ajuste à celle de ses employés.
Sans être idyllique, Le profit profite à tous. Le niveau de vie s’étend en
Europe.
Dans les années 80,
les entreprises externalisent leur personnel puis, délocalisent leur lieu de production
et finissent par licencier à tour de bras. Les salariés deviennent une variable
économique. En diminuant la masse salariale, l’entreprise améliore ses
performances financières. Le rôle protecteur du salariat tend à disparaître. Les
patrons rêvent-ils de ne plus avoir d’employés ?
Aujourd’hui,
l’actionnariat a introduit une nouvelle donne. Il s’est considérablement
développé. Ces « maîtres » à bord que sont les actionnaires, donnent
lieu à des relations d’une autre nature. Les patrons ont pour devoir de
satisfaire aux exigences des actionnaires. Cette nouvelle donne s’exerce au
détriment des salaires. L’économie nuit-elle à la progression de notre
bonheur ?
Même si l’économie
n’est qu’un déterminant parmi d’autres, au bonheur, avoir un logement décent
qui entre dans son budget est somme toute un élément indispensable au bonheur.
Même si nous savons qu’une augmentation de salaire procure une satisfaction
temporaire, elle peut dans bien des cas être vitale. Cette pression renforce
notre croyance que la richesse procure du bonheur. Pourtant, une substantielle
augmentation de salaire nous pousse à dépenser davantage.
Est ce que je serais
plus heureuse si je possède une garde robe bien fournie, de belles voitures ou
que sais-je encore ? Le plaisir de l’achat d’une nouvelle robe ou d’une
belle voiture est somme toute éphémère. Ce geste renouvelé à maintes reprises
suffit-il à notre bonheur ? Certes non. Et pourtant, nous aimons l’idée
d’être « libre » d’acheter. Nous nous engouffrons facilement dans ce
paradoxe. La stagnation de notre pouvoir d’achat peut entraîner une
« souffrance ». Nous crayons l’appauvrissement. Cette crainte a pris
le pas sur notre mental. Nous avons accepté de compenser notre malaise par la
possession de biens de consommation. Nous avons tendance à nous focaliser sur
l’aspect matériel des choses parce que c’est quantifiable et évaluable.
Cette recherche du
bonheur au travers des biens matériels et le manque de travail pour tous, a
influencé nos rapports humains dans le travail. Nous nous sommes inscrits dans
un environnement compétitif qui s’est durci d’années en années. Chaque salarié
est évalué et mis en rivalité. De fait, la compétition s’accroît au sein des
entreprises. Elle devient un élément de la course à la performance. Etre dans
les meilleurs constitue un leitmotiv et nous entraîne parfois dans un mouvement
incessant. Sous l’effet de ces mutations
du monde du travail telles que la complexité des tâches, les exigences accrues
de la clientèle ou de la hiérarchie, se cache le stress au travail. Petit à
petit, sans que nous y prenions garde, l’individualisme s’est installé au
désavantage du collectif. Dans ces conditions, le bonheur est mis de côté.
Dans cet environnement
« hostile », qu’en ait il de notre bonheur ?
Malgré les difficultés
rencontrées, chaque personne a le pouvoir de s’interroger et de contourner,
autant que possible, les premiers signes du stress qui s’installe insidieusement. Dès la première alerte, prenez le temps de réfléchir aux activités qui vous rendent heureux
(se).
Dressez la liste des 5
principales auxquelles vous voulez vous adonner toutes les semaines. Ces
activités ont elles des liens avec l’argent ?
Vous y consacrez-vous
suffisamment ?
Prévoyez des plages
horaires dans votre agenda pour y passer plus de temps.
N’hésitez
pas à me faire part de vos expériences. Rendez vous sur mon site http://www.tamajicoaching.org
Cliquez
sur mon blog et commentez cet article. Si le cœur vous en dit, inscrivez-vous
sur mon blog et donnez moi votre adresse mail pour que je vous informe des
prochains articles. Vous ferez parti de ma liste de membres.
Si
l’argent procure du bien-être, la sur enchère ne saurait acheter le bonheur.
Vous
pouvez, si vous le voulez relire le bonheur au travail, écrit en novembre 2012
Corinne
Mathieu
samedi 13 octobre 2012
Les avantages du coaching par téléphone
La pratique du
téléphone en coaching gagne du terrain. Commode, souple, le coaching par
téléphone se démocratise. Que ce soit pour des particuliers ou dans le cadre
d’un accompagnement professionnel, il a été initié pour des raisons évidentes d’éloignement
géographique ou d’agenda.
Comme j’en ai fait
l’expérience récemment, j’ai voulu la partager avec vous. Bien que nous n’ayons
que peu l’habitude de travailler en dehors de ce « sacro-saint face à face »,
le coaching téléphonique offre des avantages.
Quels sont ces avantages ?
En dehors de
contingences matérielles, d’économie de temps ou de transport, le coaching
téléphonique apporte au client une liberté
d’expression indéniable. La recherche d’approbation ou de jugement, dans le
regard du coach est gommée. Ni le coach, ni la personne coachée ne sont
influencées par les réactions de l’un ou de l’autre. Aucun élément visuel ne
vient perturber la relation coach/client. Chacun reste centré sur le ou les
objectifs.
La distance qui sépare
le coach de son client rend la situation moins impressionnante. La personne
coachée est dans un environnement habituel, connu. Elle peut choisir le lieu et
l’heure qu’elle juge profitable pour sa séance de coaching. Ce confort facilite l’échange puisque la
personne coachée choisit ce qui est le plus confortable pour elle. Certains
sont plus réceptifs le matin alors que d’autres préfèrent le soir. Par
ailleurs, la séance peut se réaliser à tout moment même si la personne coachée
est en déplacement.
Par ailleurs, le
client a toute latitude pour choisir son coach. Il peut le choisir en fonction
de la relation qui s’instaure et de la confiance qu’il éprouve, sans tenir
compte des critères géographiques. Ce choix
indépendant du lieu géographique lui ouvre de plus grandes perspectives. Un
plus grand nombre de coach sont à sa disposition. Il peut réellement opérer le
choix qui lui correspond le mieux.
Le téléphone encourage
à mener des séances courtes d’une heure. Cet impératif incite à aller plus
rapidement dans le vif du sujet et de se centrer sur l’essentiel. Certains
échanges de politesse sont écourtés au téléphone. De ce fait, le coaching par
téléphone stimule la focalisation sur des objectifs concrets. Compte tenu du
temps plus restreint, coach et client soignent davantage la qualité de leur
écoute. Le coach se concentre sur les paroles du client, l’intensité de sa
voix, son débit, ses hésitations, ses changements dans sa voix et ses silences.
Tous ces signes informent sur l’état émotionnel du client. La voix donne des
informations sensibles sur l’état émotionnel dans lequel le client se trouve
dès les premiers instants.
Le coaching par
téléphone s’adapte bien aux rythmes de notre vie actuelle et la démarche reste
la même qu’en face à face même si nous ne travaillons pas avec les mêmes canaux
sensoriels. Le canal auditif évidemment est le plus sollicité. Les techniques
actuelles de vidéo conférence peuvent pallier en partie ce manque.
N’hésitez
pas à me faire part de vos expériences. Rendez vous sur mon site http://www.tamajicoaching.org
Cliquez
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Si
cet article vous a convaincu, faîtes l’expérience du coaching par téléphone.
Corinne
Mathieu
vendredi 28 septembre 2012
mardi 18 septembre 2012
L’usage du changement en coaching
Il est assez courant que le mot
« changement » s’accole à celui de coaching. Deux mots
« fourre-tout » ensemble ! L’un comme l’autre recouvrent des
concepts flous.
Le lien entre coaching et changement
Toutefois, le coaching vise le changement. En réalité,
tout bouge dans notre environnement. Nous vivons sans cesse des évolutions.
Passages de l’enfance à l’adolescence pour arriver à l’âge adulte … Notre vie
s’accompagne de changements de situations : apprentissage d’un métier,
mariage, parentalité, divorce, deuils … Alors le changement nous le
connaissons !
Une fois ce principe posé, nous pouvons dire qu’il
existe 2 types de changement. Le changement voulu. En coaching le client
souhaite ce changement. La situation vécue ne lui plaît pas. Il veut autre
chose. Là, il s’agit de voir ce qu’il veut changer. Est-ce une relation,
lui-même, son équipe, son entreprise ?
Pour le changement subit, le coach s’assure que le
client veut vraiment changer. En fait, bien souvent la personne qui subit veut
résoudre le problème auquel elle est confrontée. Mais sait elle que le coaching
va l’entraîner vers un changement de croyances, de comportements et repousser
ses limites etc … Au final, la personne espère recevoir du coach « un truc »
qui changera son environnement sans qu’elle ait besoin de se transformer. Or,
changer des personnes est quasi impossible !
Les méthodes du coach
Revenons dans le cas où le client veut changer. Alors
quel est le rôle du coach ? Il lui incombe de trouver la meilleure
attitude pour induire ce changement. Mais alors, comment s’y prend t-il ?
Plusieurs possibilités existent.
Soit le coach utilise une démarche symbolisée par le
comment. Il s’agit ici de mettre en œuvre d’autres façons de faire, de penser
et d’agir. L’intellect est le guide de ce type de coaching. Imaginons qu’une
personne ait tendance à prendre en charge, de manière assez systématique, les
problèmes qui ne sont pas de sa responsabilité. Alors le coach explique à ce
client ce qu’est le sauveteur. Puis, il lui donne les conditions pour ne pas
être sauveteur. Enfin, il incite le client à trouver des solutions.
« Maintenant que vous savez ce qu’est un sauveteur et que vous en
connaissez les conditions pour ne plus l’être, comment voulez-vous vous comporter
la prochaine fois que quelqu’un vous donne quelque chose qui n’est pas de votre
responsabilité » ?
Soit le client est invité à trouver la solution à
l’intérieur de lui. Le coach travaille alors selon le principe rogérien. Il écoute et renvoie au client
les mouvements qui l’agitent, sans les interpréter. Il renvoie un effet de
miroir au client. Cette attitude permet au client de trouver ses propres
solutions.
Soit le coach agit sur les croyances, les perceptions,
les actions, les comportements du client. Le coach demande au client de passer
à l’action et c’est l’action du client qui provoque le changement. Le coach est
pragmatique. Cette approche se réfère à Milton
Erickson.
Que fait le coach de ces méthodes ?
Certains coachs sont experts d’une méthode et s’y
réfèrent. D’autres passent d’une méthode à l’autre selon la problématique du
client.
Pour ma part, j’utilise ces différentes techniques. Le
fonctionnement du client a son influence. Je peux tout aussi bien réfléchir,
poser un diagnostic, faire référence à un modèle (sans forcément le partager
avec le client), qu’être dans une attitude de miroir, notamment lorsque le
client traverse des situations de deuil ou encore avoir une « attitude Ericksonnienne » quant-il s’agit de
provoquer un changement de croyance ou de perception.
N’hésitez pas à me faire part de vos expériences.
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Corinne Mathieu
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